Kaguya-sama: Love is War Season 2

Episode 7

“Les sous-vêtements ! Ce tissu qui enveloppe nos parties si délicates est une terre sainte et inexplorée pour le sexe opposé qui ne peut que rarement la contempler. Ceux ayant succombé à leurs plus bas instincts ne peuvent contenir leur joie à la vue d'un tel spectacle.” C'est sur ces mots que s'ouvre l'épisode 7 de Kaguya, et avec une telle thématique affrontée de front, on espère éviter les lieux communs, Kaguya n'étant pas une série comme les autres, elle brise vite le tabou quand Chika dit à Kaguya que Ishigami – alors surpris sans pantalon – allait se “mast...” (je cite le demi-mot). Si le malentendu est dissipé, Ishigami est moqué car il porte un slip (“encore une fanatique des boxers !” se dit-il). Et voilà qu'on part sur le débat du boxer, soit le vêtement porté par des gars qui veulent plaire, des “chauds lapins” ! Un terme que ne connaissent pas Kaguya et Chika, qui s'empressent de demander à Siri ce qu'est un chaud Lapin...

Désormais Kaguya veut savoir ce que porte Miyuki…

Avec Kaguya, peu importe le sujet ou la thématique, il y aura toujours de l'idée et de l'originalité pour faire rire, sans tomber dans le vulgaire, le ringard. Et avec un tel sujet, il est évident que l'exagération sera encore une précieuse alliée. Comme lorsque Kaguya masse les mains de Miyuki : elle espère créer un lien affectif (et un peu d'excitation), mais Miyuki souffre le martyre (voir image).

L'autre excellent gag se situe en partie 2, quand Miyuki conseille à Kaguya de lire des mangas (un shôjo, en l'occurrence). Elle n'est pas partante, puis Miyuki insiste, lui dit que ça parle d'une fille ne croyant plus en personne, et qu'un beau garçon fait sa rencontre “Mais il est atteint d'une grave maladie et il meurt !” s'écrit Chika, brisant la présentation de Miyuki !

C'est donc les poches pleines de bonnes petites idées et d'un montage toujours aussi efficace que se présente l'épisode 7. La petite équipe ne fléchit pas !

Note :

Kaguya-sama: Love is War saison 2 est diffusé sur Wakanim.