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Zelda: Ocarina of Time et Ms. Pac-Man rejoignent le Temple de la renommée du jeu vidéo
posté à par Adriana Hazra
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The Strong, qui se décrit comme le « musée national du jeu » au Rochester, New York, a annoncé vendredi quels étaient les intronisés à son Temple de la renommée du jeu vidéo, pour 2022, avec The Legend of Zelda: Ocarina of Time (1998), Ms. Pac-Man (1982), Dance Dance Revolution (1998), et Sid Meier's Civilization (1991).
Dans la liste des douze finalistes, on peut également trouver Assassin's Creed, Candy Crush Saga, Minesweeper, NBA Jam, PaRappa the Rapper, Resident Evil, Rogue et Words with Friends.
Notons que le publique peut voter pour n'importe lequel des candidats ; et l'ensemble des votes constitue une voix parmi le comité décisionnaire.
The Strong a ouvert son Panthéon du jeu vidéo en 2015. On retrouve dans la catégorie inaugurale on retrouve les titres Pong (1972), Pac-Man (1980), Tetris (1984), Super Mario Bros. (1985), Doom (1993), et World of Warcraft (2004).
En 2016, les jeux The Legend of Zelda (1986), Sonic the Hedgehog (1991), Space Invaders (1978), Grand Theft Auto III (2001), The Oregon Trail (1971), et The Sims (2000). ont été rajoutés.
En 2017, Donkey Kong (1981), Halo: Combat Evolved (2001), Pokémon Red and Green (1996), and Street Fighter II (1991) se sont joints à cette liste.
En 2018, ce sont les jeux Spacewar! (1962), John Madden Football (1990), Tomb Raider (1996), and Final Fantasy VII (1997) qui y ont pris place.
En 2019, les intronisés étaient : Colossal Cave Adventure (1976), Microsoft Windows Solitaire (1990), Mortal Kombat (1992) et Super Mario Kart (1992).
The Strong avait nommé douze candidats en 2020 parmi lesquels Bejeweled, Centipede, King's Quest et Minecraft.
Le musée explique comment les jeux sont choisis :
N'importe qui peut nominer un jeu pour le Hall of Fame. Les sélections finales sont faites sous les conseils de journalistes, d'étudiants, et d'autres personnalités familières à l'histoire du jeu vidéo et à son rôle dans la société.
Sources: The Strong's website (link 2), Eurogamer (Ed Nightingale)
